Si certains sont célibataires, d’autres arrivent en couple et ont aussi parfois des enfants à scolariser. Des aspects certes en marge de leur recrutement, mais qui ont toutefois une importance toute particulière, surtout lorsqu’il s’agit de collaborateurs qui ne maîtrisent pas la langue française et qui doivent très rapidement être opérationnels dans leurs nouvelles fonctions.
Marielle Derycke, responsable adjointe des ressources humaines chez Centres R&D Nestlé SAS situé à Aubigny, connaît bien le service pour y avoir eu recours à de nombreuses reprises. « Dès que la cellule a été créée, j’ai été en contact avec elle. Elle aidé beaucoup de nos expatriés dans leurs démarches administratives, notamment pour des visites d’appartements. Il a aussi pu les mettre en contact avec des personnes qui parlaient leur langue. Depuis sa création, nous avons largement fait appel à ce service, surtout pour les familles de nos collaborateurs étrangers. Aujourd’hui, le profil de nos expatriés est un peu différent. Ce sont plus souvent des célibataires. Mais dès que nous en accueillons de nouveaux, nous signalons leur arrivée au service accueil mobilité de la CCI. »
De l’huile dans les rouages
Une analyse que partage Hervé Guichard, directeur des ressources humaines chez Valeo embrayages, équipementier automobile, à Amiens,
